Au cours des dernières années, de nouvelles approches ont vu le jour afin de compléter les études menées via des approches traditionnelles, de s’adapter aux nouvelles technologies émergentes, et dans les buts de réduire les impacts sur les animaux et s’adapter aux limites des moyens financiers et humains.
Les méthodes innovantes suivantes, non exhaustives, contribuent de façon croissante aux études menées sur l’activité d’observation et ses impacts :

 

  • Les sciences participatives, avec l’appui du grand public, des opérateurs
  • Les suivis aériens basés depuis des plateformes d’observation terrestre, à l’aide de drones notamment. Si un effort de prospection est suffisant, cette méthode peut permettre d’évaluer la fréquence d’occurrence et les variations intersaisons et interannuelles. Cette méthode peut également permettre l’évaluation des interactions entre navires et cétacés.
  • Les approches permettant de surmonter les limites évidentes des suivis visuels des cétacés : par exemple les suivis acoustiques passifs (SAP), ou l’utilisation de drones sous-marins ou ROV (Remote Operated Vehicule) pour réduire l’impact de l’observateur a pris de l’importance.
  • Les approches pour améliorer la détection des mammifères marins dans des conditions de visibilité limitée : par exemple les suivis acoustiques actifs, l’imagerie thermique, les radars (Radio Detection and Ranging).
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